jeudi 13 mars 2008

Here is a picture letter for you and me # 32


Bonjour! Bonsoir! Venez je vous emmène vers la rue des pignons c'est tout près, ça me rappelle ma première blonde virtuelle Marie-Josée Longchamps la comédienne . Elle était plus jolie que Flagosse Berrichon, on a plus de beaux noms de même dans nos téléromans. Pour revenir à la rue c'est un petit coin oublié du centre sud depuis qu'il ont fermé le snack-bar, le snack-bar une autre de nos belles institutions qui a disparue aujourd'hui on appelle ça un boui-boui n'empêche pour manger un bon hot chicken avec un coke, bouteille de six onces s.v.p., y'avait rien comme le snack-bar, y'a plus personne qui passe dans cette rue là. Plus de snack-bar mais des dépanneurs en veux tu en vl'à, personne qui se dit un mot occupé avec leur gratteux et leurs numéro de six quarante neuf. Mais la rue des pignons a gardé ses airs d'autrefois, des airs de travailleurs honnêtes et humble du temps ou on savait pas ce que c'étais du tofu sans parler des asperges. Ce qui me fait penser aux Têtes-à-claques avec le "c'est bon des pétaks", au cas ou vous le sauriez ( conjugaison de je ne sais quel temps) pas deux mille huit c'est l'année de la pomme de terre pis dans le temps de Rue des Pignons on en mangeais des patates et on est pas mort. Je crois que les gens pas riches mais honnêtes mangent encore des patates, rapport qualité prix croyez en la cuisinière de chez nous c'est dur a battre. Je suis pour une réhabilitation de la patate, au four, bouillie, frites, laissez aller votre imagination des pommes de terre en purée avec de la crème trente cinq pour cent et du gros beurre voilà une cuisine bien de chez nous, on est pas tous allé dans les z'europes voir Bocuse mais le terroir, pas le tiroir!!!, on sais ce que c'est. La rue des pignons c'est le terroir urbain avant que le centre sud soit envahis par les orgueilleux condos de carton en tout cas dans le centre sud on est pas riches mais on mange. Ça ressemble à une publicité pour McCain assurez vous d'acheter de la pomme de terre d'ici. En dessous de ces pignons là y'a surement des beaux caveaux à patates, deux trois cinquante livres à l'automne et on est partis pour l'hiver. Une chose que je sais pas c'est si les patates sont exemptes d'O.G.M. avec ça je vais peut être faire peur à certains lecteurs grano, végé, name it!!! Mais j'ai quand même bien hate à l'été. Je vais m'inviter chez notre lecteur mécène pour qu'il nous fasse des patates en robe de chambre, pas le mécène!!! Les patates pis si le Bon Dieu est bon j'emmènerai mon steak. En attendant ont dis merci à Louis Morisset et à Mia Riddez-Morisset pour nous avoir donné de beaux moments de télévision et chou aux Têtes-à-claques bien que le chou soit lui aussi très mésestimé mais c'est une autre histoire... Mais allons y donc pour le chou, le chou dans le bouillie parce que le crû comme disaient les curés ça réveille la concupiscence, quand même pour les choux désolés de vous l'apprendre on est pas nées dedans, y'a toujours le cigare pensez pas à mal gang de pervers y'a juste Clinton qui peux se permettre ça. On est bien loin de la rue des pignons quoi que les rôteux all-dressed du snack-bar étaient toujours délicieux. Ce que j'écris là ça ressemble à une choucroute y'a un petit goût de vinaigre a oublier sur la rue des pignons. Pour finir comme on est dans le temps du cârème je vous suggère d'éviter les choux à la crème et je reviens à mon lecteur mécène pour qu'il sache que j'apprécie ce qu'il fait pour moi. Pas loin de la rue des pignons y'a quelqu'un qui vous considère tous comme ses chouxchoux. Merci d'avoir lu! À la semaine prochaine je l'espère!!!

Milly Bernie

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Vas-tu m’amener faire un tour sur la rue des pignons ? Est-ce que c’est accessible sur la rue des pignons ? Parce que c’était pas toujours pour tout le monde dans ce temps là, la rue des pignons, parce que je pense qu’il y a quelques choses en dessous du degré zéro du mangeur de pétake… Le bon vieux temps y venait pas toujours avec du beurre, le bon vieux temps…
Poesis