mercredi 29 avril 2009

Here is a picture letter for you and me Vol.2 # 20


Bonjour! Bonsoir! Bien sur! C'est une lubie de gars seul écrire comme ça, une idée extravagante. Pourtant je vois pas pour le moment, une façon de devenir qui passe pas par l'écriture. Un écrivain ça écris, peu importe ou plutôt tout importe et pendant ce temps là les italiens refont les trottoirs de la métropole. J'écris comme les arbres poussent les branches attirées vers le soleil. Quelle espèce d'amanchure je vais vous écrire aujourd'hui, y'a toujours le décalage, une semaine c'est suffisant pour les feuilles? J'ai l'écriture qui paralyse lentement, manque d'inspiration je ne sais... Je vais essayer de revenir à ce qui anime le centre-sud dans ces beaux jours, les vitrines, les passants et toujours les passants, les travaux d'excavations, le dépanneur Tina pis son éternel air bête... enfin!!! Ce soir je suis heureux c'est l'été qui s'en viens, on en a un aperçu. Je sais je vous apprend rien. Tiens! Y'a une chose qui va se passer dans mon centre-sud intime, le grand ménage, les murs le plafond allons-y... C'est pas très original je crois que ça s'appelle de la littérature domestique comme la liste d'épicerie. Pour revenir aux arbres j'ai pas de racine plutôt un rhizome, j'essais de m'étirer dans l'underground du centre-sud, underground c'est un mot qui a plus cours tout est mainstream, la dictature de la majorité mais je m'égare comme souvent... On dirais dans une mauvaise traduction le flux principal... Aujourd'hui samedi dans le centre-sud ça sent le printemps, mélange entre le parfum d'écurie et le parfum de Madame Curie et c'est pas de la pénicilline... Madame Curie a rien a faire avec ça mais les chevaux eux???!!!! En tout cas c'est un beau temps pour soigner sa syphillis... Parlant de soigner la fabrication d'antibiotique a partir de l'urine de cheval c'est un mythe bien que les antibiotiques furent découvert avec la méthode Pasteur c'est-à-dire Par Hazard!!!! Pour rester dans les chevaux, je sais pas si y'a des lecteurs qui regardent Pour l'amour du country, c'est juste pour dire que je trouve madame Solange Campagne la choriste, bien jolie... Y'en a certainement qui pensent aux droits d'auteur, ça pas rapport avec madame Campagne, j'ai entendus à la radio qu'un gars avait eu huit cent mille clics sur sa toune et on donne son contrat en exemple, il a retiré un gros cinquante piasses... Ouais! J'ai vu des feuilles sortir des bourgeons... une éclosion? Je pense aux artistes des conservatoires plusieurs ( savez vous que l'académie française n'emploie le verbe éclore qu'a la troisième personne) n'y arrivent pas... Quand je fait le ménage centre-sud, je déplace les meubles, y'a tellement de poussière j'ai peur de trouver un cadavre, pour faire le ménage je me suis engagé un helper pas jasant jasant, lavé, lavé, la la le hit de Martine Saint-Pierre, s't'un torchâge... Mes vitres étaient tellement sales il faisait noir toute la journée... Pas très profond cette semaine, je me sent un peu plus léger pas comme le cardinal mais comme une effeuilleuse, vous me direz qu'il est tôt pour en enlever, ça fait pourtant longtemps que j'espère un nuvite dans le centre-sud. J'essaye de faire mon comique mais on ris pas, ouais il fait beau... C'est difficile de faire le drôle. Aujourd'hui j'attend un coup de téléphone pour remplir ma carte de transport en commun, je peux pas trop m'éloigner et ça me fait chier... Ce que j'écris là ça s'appelle tu un pense-bête? L'idée c'est de pas trop ressembler au Sélection du Reader Digest, je crois pas qu'il y ais un écran d'ordinateur devant votre trône à moins que nous n'utilisiez votre lap top, mais je sais pas si ça aide a forcer?Étrange la couronne de la cuvette elle est sur le trône... Je suis a bout mais je sais c'est pas le boutte de la m... Je pense à ma santé mentale en espérant garder le peu qui me reste... Je crois que je vais terminer ici. Merci d'avoir lu!!! À la semaine prochaine je l'espère!!!


Springie Bernie

mercredi 22 avril 2009

Here is a picture letter for you and me Vol. 2 # 19


Bonjour! Bonsoir! Alors on cause de la pluie et du beau temps, de la guerre en Afghanistan, du printemps. On cause comme ça tout le temps, matin midi soleil couchant soleil levant, on cause du voisin qui a pas de bon sens et de la voisine qui attend... On cause de la cause grouille pas chose, grouille pas a cause a cause? Mais parce que y'a rien de suffisant et il ment il ment depuis longtemps mauvais voisin mauvais amant et nous mesdames assises sur un banc c'est le procès sans serment... La haute cour pour les enfants, pourtant pourtant maman maman si souvent personne peux dire l'enchantement et justement le chant le chant dans les grands champs il s'est perdus sur le ciment. À trop vouloir en dire on se pend, on s'accroche, on se rend, et on apprend a ne pas se prendre. On cause, on cause comme ça pendant la pause entre deux calmant, on cause de comment c'est méchant ces médicaments, pourtant pourtant ça pis l'argent c'est tranquilisant, mais vous mais vous qui bégayer tout le temps dans votre rôle de patient, non non vous n'êtes pas dément juste un peu satan... et là on entend les hauts de hurlevent assourdissant. On cause On cause sur le banc de sang de passion et de plan d'un autre pays celui d'avant celui d'un espèce de survenant de l'anse St-Jean ou d'un de ces pays de musulman qui font prière mahométan, pas de méthane on cause de Matane de ses crevettes de ses tourments et on reviens sur St-Laurent la maine ses restaurants ses bars insignifiants. On cause on cause c'est charmant, on dis des mots mutants, jette l'opprobre aux protestants et puis on rêve à Ménilmontant à Paris aux croissants et on les vois tous sergents en permission au tournant laissant le tir au adjudant et vous avez vos fils lieutenant qui se battent pour la liberté soi-disant. Tout ça tout ça on verras au bout d'un an comment se calment vos tourments. On cause On cause patience injure dénigrement et tant qu'a faire désarmement, y'a de la bisbille chez l'habitant on veux montrer tout son talent et on enfile les gants, deux ou trois punch aveuglant et voilà le beuglement. On cause on cause comment ils sont tous fainéant comment c'étais avant les gens étaient travaillant... On cause on cause la vie ça va pas sans déchirement, sans larmes, sans bouleversement et on parle encore des allemands du mur de Berlin de son effondrement, on donne son châtiement le temps de son enfermement pour avoir, pour avoir quoi justement. On cause on cause c'est la saison des amants de ceux qui font parler injustement et qui se perdent en larmoiement. Je sais bien l'adverbe trop souvent ça tue ça prend l'équivalent des rimes faites facilement. Je pense au flow au débit au mot tout en haut c'est trop, je prend un verre d'eau et je reviens en sacrament vers l'étang, l'étang des temps d'amusement avec la nuit l'engoûlevent et l'éternel soleil couchant... On cause on cause des habitants de l'hiver qui a mis du temps et des rugissements et présentement on vole chantant à une chanson et le sang le sang béant bientôt battant ou plutôt pleurant inondation débordement. Heureusement il y a une fin à ce tourment c'est rien de chatoyant juste du vent pour la saison de l'enchantement. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la semaine prochaine je l'espère!!!


Rhimy Bernie

mercredi 15 avril 2009

Here is a picture letter for you and me Vol.2 #18


Bonjour! Bonsoir! Respectez notre travail, voilà! Je regardais le show idiot ou le show pour les idiots american gladiators, faut s'ennuyer!!! et avoir un caractère dépressif dans les pubs on peut y vendre son or et commander des lisières de semences. C'est le désespoir des pauvres qui rêvent d'être des stars. Dans le show on vois pas la misère mais on se plait a imaginer l'autre bord de l'écran, l'ailleurs misèreux américain un peu comme dans les films de David Lynch. Un poteau c'est Sahara Lumber de Desjardins, des mots gravés dessus, littérature de ruelle... sans lisières de semences florales à vingt neuf dollars des milliers de fleurs bioniques qui font désespéré notre pissenlit autrement dis envois ton or pour acheter des merrygold. Ça m'étonne toujours de voir des shows télé valorisant l'effort athlétique avec des pubs qui découragent l'effort simple comme le jardinage. Mon poteau il est beau il dis ce qu'il a a dire, une espèce d'éloge à la créosote, peux pas pourrir le poteau ni mourrir c'est une sorte de phénix nord-américain... Ça serais quoi le paysage, les rangs sans poteau, dans les villes maintenant ils sont cachés dans les ruelles, à la campagne on a le poteau orgueilleux quasiment phallique comme celui du boeuf. J'en vois qui rêvent de terrasse en pin de poteau traité, attention ça beurre... à moins qu'il soit traité au pentachlorophénol ou PCP, pour les drogués on va dire que c'est la même marde... Des plans pour qu'ils se mettent à gruger les poteaux ou fumer de la sciure c'est vrai que le potteux, le potteux pas le poteau!!! est souvent fort dans le recyclage. Je viens de voir qu'au mois de février à New-York y'a eu un festival de la "new french littérature" pas une mention du Québec, les français le Québec ils l'ont dans le Q, ils croient toujours qu'ils vont voir des ours polaire sur la rue Sainte-Catherine, on devrais tous les envoyer voir les bibittes empaillées du musée Redpath à McGill. C'est quoi de la "new french litterature", BHL faites moi rire!!! Je pense au décorum de toutes ces manifestations, j'y ai jamais été invité, c'est surement des gens biens autour d'une bouteille de vin mais les américains dans l'alcool ils font mieux, Burroughs, Bukowsky vomissaient pas... Mon affaire c'est toujours en porte-à-faux, dans le vide... Tiraillé entre les mauvais show de tévé américain, la littérature doigt en l'air française et les poteaux d'Hydro-Québec. Les poteaux c'est des mats sans voile y'a beau venté rien n'avance et les animaux de compagnie y découpent leurs territoire tout en bas, y'a aussi quelques oiseaux de nuit qui laissent quelques coulisses... Les latrines du pauvre... Mon poteau il ressemble a une table de la loi, une définition de ce qui est artistique pour un graphitiste tout ça pour dire qu'un poteau ça sert à plusieures choses. Bon! Un totem québéquois c'est tu possible? À Québec ils prononçent "pauteau" je crois, c'est plus frais dans la bouche... Faites vous en pas c'est pas un pieux y'a personne d'empaler dessus, j'en vois déjà qui voudrais soigner leurs hémorroïdes de façon radicale... On a pas eu un dimanche de Pâques très pieux plutôt fastueux chez nos amis d'Aylmer, reçu comme un roi... Le soleil étais de la partie ainsi que notre mécène de Deux-Montagnes qui délirais sur les vents... Le poteau c'est un arbre déraciné a qui on redonne le fil, moi, je l'ai perdus le fil mais je sais qu'il y a un de nos lecteurs qui grimpe dans les poteaux pour faire des choses pas trop "catholique" du genre one for the money, two for the T.V. show... Oui! Je suis Elvis Saulnier qui délire sur les poteaux vous pourriez (pourriez comme dans pourris...) m'y crucifier, il est trop tard la résurrection a eu lieu, le Christ moderne aurait quelques fils sur sa croix et peut être une antenne parabolique, c'est tu ça qu'on appelle l'harmonie des sphères?... Bon cette semaine avec ce beau temps je vais faire mon kinésthésiste, sacrez-moé ça là s'te lecture là!!! Allez jouer dehors!!! Merci quand même d'avoir lu jusqu'ici!!! À la semaine prochaine je l'espère!!!


Loggie Bernie

mercredi 8 avril 2009

Here is a picture letter for you and me Vol.2 #17


Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui nous sommes sur des docks de truck un peu au nord du Centre-sud. Des docks des shop Angus qui ont vu passé des générations d'ouvriers. Sur les docks y'avait du stock beaucoup de stock qui disparassait parfois pour arrondir les fins de mois. Des docks pis des trucks, c'est pas très français je pense à la cadence de déchargement et de chargement une cargaison après l'autre. C'est un prétexte pour pas vous parler de chocolat, blanc, au lait, noir, toute la gamme de cocoa sans oublier le Nestlé Quick... Je peux pas l'avoir à toute les picture letter l'expression parfois ça demande de l'impression, la vérité c'est que parfois j'ai envie d'en finir avec ma vie. l'orgueil me joue des tours. Je me vois couché dans une boîte de truck pour une procession funéraire, c'est macabre... Heureusement qu'il y a le jour, les matins d'espérances à la fin des nuits de désespoirs. Sur les docks c'est pas à la pièce c'est au bundle, une grosse de grosses, une grosse? Douze douzaines si vous comprenez pas. Sur les docks on connais le tabac, les palettes de marchandises se promènent et faut faire gare à nos pieds, les docks c'est la vie parfois faut serrer la strap pour que rien ne s'écroule. Rock'n'roll sur les docks, musique métal on y répare plus les trains mais on s'y défait les mains, C'est vrai qu'on y travaille plus tellement à la main les chariots élévateurs font la loi, tassez vous de d'là on s'en viens... et ça pile et ça pile une palette par dessus l'autre en attendant d'être piller comme chez Costco... Ouais! C'est pas très sentimental cette semaine ça pleure pas beaucoup sur les docks pour faire ça on se cache dans les toilettes les docks c'est tough... Anyway en ces temps de crise économique la marchandise s'écoule pas vite, le temps d'entreposage ça coute cher, tout ce que vous consommez est passé sur un dock mais de plus en plus on les transforme en loft les entrepôts... Je pense au film d'Elia Kazan, Sur les Quais, Brando... ce film là c'est le port, le bord de mer urbain, les débardeurs, ça part quand même des bateaux pour être entreposé... C'est pas mal plate cette semaine c'est peut ëtre parce qu'elle est sainte, la vertu ça parfois rien de réjouïssant, ça fait pas de la bonne littérature, je m'imagine les livres crêtés qui arrivent de partout et qui rempliront les librairies. Tout ça parce qu'aujourdhui j'ai mal, mal à l'âme avec une peur de finir en prison histoire de pillule de cellule de gellule de libellule, libelle? C'est comme si ça faisait quarante ans de dépression les docks pour moi c'est le bas-fond, l'endroit ou on ruine sa vie pour une paye de misère... Ça sert a rien de brailler faut accepter son sort, les docks dehors la nuit le jour, les trucks qui vont qui viennent loadé la remorque pleine...et on tente de survivre cherchant l'aide là ou elle est... J'ai pas fait maigre j'avais besoin d'être carnivore et de manger chaud quand on reviens des docks on a souvent la face basse, les jambes en compotes le sandwich du midi est loin et dans la tête toutes les idioties qu'on y a dis. De mes jours je fait la nuit et je m'ennuis... Avec l'arrivée des beaux jours il arrive parfois que des gens s'en vont sous d'autre cieux, sans que rien n'y paraisse trop ça me donne un coup, j'ai partagé de bons moments avec cette personne d'autre plus douloureux, tant pis si je me répète va falloir que je m'y fasse une autre prendras la place en espérant que ce soit pour le mieux. Je m'éloigne des docks en espérant pas avoir besoin du doc... Sometimes life suck's!!! Je vais garder les autre gros mots pour moi...C'étais pénible cette semaine, j'espère bientôt vous en faire une plus joyeuse. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la semaine prochaine je l'espère!!!

Dockie Bernie

mercredi 1 avril 2009

Here is a picture letter for you and me Vol.2 # 16


Bonjour! Bonsoir! C'est le printemps, vous rappelez vous ce que vous faisiez en classe vers quatre heure. Moi je regardais dehors j'avais hate d'aller faire mon Claude Provost au hockey bottine avec mes chums. Y'en a peut être qui se rappellent la bûche sacrée là ou on jouais à kik la kékanne quand la neige étais fondue. Le printemps et plusieurs s'en peuvent plus d'aller s'épivarder sur les terrasses même si les jeunes filles sont encore biens habillées ça fait toujours plaisir de se réchauffer en prenant un café, moi les terrasses ça me conviens j'aime pas beaucoup le râteau et pas plus la moto, on est quand même dans le moment ou on attend le vert... Dylan chantais "Times they are a changin" me semble que ça change pas tant que ça, la guerre, la crise économique, les saisons qui reviennent... et les nids-de-poule!!! Le printemps c'est l'espoir, la résurrection, y'en a beaucoup qui veulent pas entendre parler de ça mais notre société est basé là dessus, la lumière de la rédemption. Tout à coup je pense au cornet de crème glacée molle au Dairy Queen du coin, un plaisir qu'on peut encore se payer, je salive déjà... Quoi de plus sympathique que la lumière tard le soir, on commençait à s'entrainer pour le baseball j'étais pas fort myope comme une taupe mais Jonesville au parc Jarry c'était imbattable avec des peanuts. J'empiète un peu sur le temps d'ici à ce que vous lisiez ceci on peux avoir une autre bordée de neige quand même je suis impatient. Le printemps c'était aussi les cabanes dans les arbres http://editions-hache.com/saulnier/saulnier15.html on jouait dehors quoi!!! Y'avait aussi la messe du vendredi saint elle étais très longue, c'étais pas le bon endroit pour des enfants qui naturellement n'ont pas l'âme en peine. Je vais un peu vite on en est encore au carême, aux jours maigres c'étais bon pour la santé, monsieur le curé!!! Tout ça c'est des souvenirs de demi-vieux qui a connu l'époque sans loto, sans casino et ou on vendait pas d'alcool le vendredi saint c'étais dur sur le dalot, on se contentait de la Lucky One au fraise. J'ai pas connus les cabanes remplies de boucane, je suis pas de Montréal, au Lac Saint-Jean des sucre y'en avait pas. Je mélange le passé récent au y'a plus longtemps. Je viens de lire le cinéaste Pierre Falardeau qui traite sans nuance tout ce qu'il y a de chroniqueurs, tous des narcissiques selon lui y'a que Foglia qui trouve grâce à ses yeux, c'est terrible de se faire dire quoi penser par deux has-been pareil. Je les aurai eu dans ma face toute mon estie de vie et même si ils sont là comme je disait au début rien ne change.... Foglia je le lis encore un peu, Falardeau à toute les semaines, ils fait son beurre de la polémique mais y'a jamais été capable de traire une vache... Y'a qu'un perdu comme moi pour lire des choses pareilles c'est du domaine du divertissement c'est tout, on se couche le soir la tête remplie de bêtise sur un Saint-Québec-Progressiste et la dernière chose que je veux c'est de me faire organiser par ces gens là, toutes pensées et tout partis confondus. J'ai switché vite du printemps aux journaleux, je les garde les journaux avant qu'ils disparaissent, j'en fait des lisières au cas ou... C'est qu'un blog parmis des milliards mais on peux pas l'amener aux toilettes à moins que votre papier cul ce soit du papier à imprimante ça reviens cher la feuille... Pardonnez moi je suis perdu... Je me perd dans l'écriture, j'écris sans cause et j'aimerais bien ajouter quelques enluminures comme les moines. Je sais pas ce que j'ai je fait souvent référence au religieux disont que le moyen-âge c'est très peu pour moi et quand on pense à Benoît XVI et son discours sur l'abstinence et les capotes on s'y crois de retour. Mais quand même avant de vous perdre dans la fornication passez à la pharmacie... À date j'en ai pas vu beaucoup se changer en statut de sel, on détourne plus le regard... Je pense à la chèvre au petit lait c'est sans queue ni tête, pas la chèvre!!! Ce que j'écris... Je suis égaré loin du centre-sud la Sodome de l'est...À l'heure ou j'écris ces lignes j'apprend une bonne nouvelle de notre lecteur mécène de Deux-Montagnes, sa femme attend un bébé hourra! Le québéquois se reproduit, je vais être mon'onk une autre fois. Je vous épargne les détails c'est délicat mais disont qu'ils n'y sont pas allés avec le dos de la cuillère. Félicitation!!!! C'est de l'espoir un bébé, malgré tout, pour tout, de l'espoir pour tous de croire que la vie est plus forte que l'amour est plus forte, de l'espoir pour fabriquer un monde meilleur à l'aube du notre qui se meurt.


Childie Bernie