Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui je me demande quel est l'essence du mal qui m'habite, ça oscille entre la schizophrénie paranoïde et le borderline. Mes histoires ressemblent un peu aux histoires de Marie Sisi Labrèche, transposez ça dans un univers masculin et vous verrez. Je vais vous raconter, même si les vrais littéraires, les vrais écrivains me l'interdisent. Le borderline ça a un affect de fou qui le fait hurler pendant des heures à la porte de sa fiancée ou grimper sur le balcon au troisième étage en se prenant pour Roméo. J'espère que ces femmes me pardonnent. Je m'accrochais aux êtres qui m'entouraient incapable de séparer le bon grain de l'ivraie ( pour ceux qui n'apprécient pas les phrases toutes faites, frappez à une autre porte). Je suis pas seul a avoir vécu ces histoires d'affect déglingué, j'en tiens rigueur à personne je suis le seul responsable... Maintenant j'essais de me tenir tranquille et de ne pas me laisser séduire par le fard des jeunes dames, qu'est ce que vous voulez je vieillis et ne suis plus attiré par les apparences... Maintenant le mal est fait, je reste prudent, les histoires turbulentes j'en veux plus... (c'est assez plate cette semaine ma letter!) Bein non! Les types comme moi ça se ramasse pas à Westmount ou Outremont, ma terre d'asile ( vous pouvez y mettre tout les sens) c'est le centre sud et dans le centre sud on a pas la prose d'amour facile pour ceux qui en veulent cliquez ici http://www.impatients.ca/ vous y trouverez les merveilleux Mille mots d'amour. Non je suis pas très romantiques, ma romance elle est déglinguée ancrée dans une espèce de psychose de méfiance... La jalousie y'a rien de plus terrible quand l'objet de votre affect (objet! je vous l'ais dis que je suis pas romantique) s'éloigne. Rien n'empêche parfois j'espère quelqu'un tombée du chemin ( ici vous avez un croisement très mal écris entre tombée du ciel et à la croisée du chemin) ouais! Ramasser quelqu'un dans la rigole c'est pas vraiment de bon augure mais les jolies jeunes filles elles savent qu'elle sont jolies ça reste intimidant. Mais vous y croyez vous à la romance? La vie est parfois si dure que je ne peux m'empêcher de pensés à des douceurs, des murmures dans une alcôve ( je me rappelle plus si ce mot là est dans Stendhal ou Flaubert) quoi que aujourd'hui on tourbillonne dans le bain tourbillon... Avec des froids pareils j'ai plus besoin des bottes Sorel que de me prendre pour Julien Sorel... Je reviens à la littérature, à l'écriture, quelqu'un pourra peut être me répondre, comment fait on pour écrire sans nourrir de controverse? Parce que le tout est de toucher... L'histoire c'était Dr.Jekyll et Mister Hyde, un monstre bicéphale voilà ce que j'étais,deux têtes une folle et une moins folle, la moins folle l'a remporté... Sur un autre plan je pense à l'exposition de la machine à merde à l'U.Q.A.M. je suis allé à Cloaqua #5 ça ressemble à Duchamp puissance 100. Ce qui me fait surtout rire c'est les critiques qui se tordent de bonheur en disant tout le monde chie et même les oeuvres d'art. Je vous chie donc une letter... non plutôt que chier on va revenir à l'urinoir de Duchamp, dans nos belles brasseries québéquoise y'a un paquet ( le paquet, ça vous dis quelque chose?) d'artistes qui contribuent à l'édification de la chose artististique entre deux bières, à quand l'expostion d'une vessie ou encore une diarrhée. Moi je veux donner de la lactose à la machine à marde tout ça pour montrer que c'est une affaire de constipé, ça pourrais osciller entre l'imodium et la lactose et effectivement qu'elle aille donc chier. http://www.wimdelvoye.be/cloacafactory.php . Cette semaine je suis partis de la schizophrénie pour finir dans la scatologie, pour être conséquent les fous furieux d'une certaine époque n'avait que leurs merde pour se défendre quand le psy les visitait dans la cellule, il les beurrait bein comme il faut comme on dis et y'a le cher Marquis de Sade qui parce qu'on l'empêchait d'écrire se servait de sa merde pour écrire sur les murs. On va tenir le mot de Cambronne à distance... Finalement c'est une exposition olfactive, ça sent la merde pour pas dire la mort comme dans nature morte... Les histoires de merde c'est parfois drôle, je mêle pas Barack Obama à ça j'ai trop de respect, je pense à certains évènements historique, fin de l'aparthaïed en Afrique du sud, chute du mur de Berlin, élection d'Obama et il ne faut surtout pas oublier que ce n'est qu'un homme et que la perfection n'est pas de ce monde mais c'est pas une raison pour rien faire. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la semaine prochaine je l'espère!!!
Shitty Bernie
Shitty Bernie
2 commentaires:
Qu'on nomme le malêtre: schizo parono ou bordeline,importe peu. Ça serre plutôt à rassurer tout le monde. Quel qu'il soit, il fera son chemin et trouvera son issu, peu importe son nom.
Catherine
Merci du commentaire positif.
Bernard
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