Bonjour! Bonsoir! Cette semaine on passe au Stereo un des joyaux du night life à Montréal. Je dis joyaux pour ceux qui veulent devenir acouphène ou tout simplement se rendre sourd au son du drum'n'bass ou du techno. Je suis jamais entré là ce qui m'étonne c'est d'entendre en passant devant le dimanche matin les boum-boum. Ils croient inventer quelques chose en mettant la musique au fond mais sachez (remarquez la conjugaison ratée) sachez que votre humble serviteur avait déjà les oreilles dans une boîte de son dès les années soixante dix. On dansait pas sur les tables mais c'étais tout comme. La musique étais moins mécanique et la bière étais moins chère remarquez que c'était un peu idiot de danser sur une piste de danse en stainless steel saupoudrée de poudre à bébé. Wô! Wô! La poudre elle étais sur la piste pas dans mon nez. Je pensait danser je me faisait plutôt tatonner par Pierre Jean Jacques et parfois Anne. Dans mon temps les filles s'habillaient elles sortaient pas en brassière l'hiver aujourd'hui c'est courant. Je sais pas si c'est encore comme dans mon temps un ratio de vingt gars pour une fille. C'est pas les gars qui choississait laissez moi vous dire qu'au last-call ça se poussait pas aux portes. Aujourd'hui ça ferme plus, ça boit de l'eau ou du red bull avec des petits pilules pis ça se fait aller l'arrière train jusqu'à tard le matin. Je viens de me rendre compte que j'utilise le verbe remarquer deux fois. Mais ce que vous lisez là c'est une grande remarque. L'édifice du Stereo est bien. J'adore la murale de béton. Je me demande quelle sorte de freak architecte a dessiné ça. Mon lecteur designer pourrait peut être le dire. On ( parfois je me prend pour un commentateur de sport) on apprécie beaucoup les montages photos irrévérencieux de ce même lecteur. Cou donc la murale est tu en béton précontraint, je dis ça parce que les contraintes ça a pas très bien réussis au viaduc de la Concorde mais là on entre dans la voirie et moi je parle d'art, d'art de mon'onk vous me direz mais si c'est d'être d'avant garde de se déshydrater dans un club, ça aussi c'est très mon'onk le club aujourd'hui ça porte toute sorte de nom mais le principe est le même ça boé ça cruise dans un environnement de sourd. Hors donc l'avant garde je passe mon tour. Une autre chose qui me fait rire c'est les "happy few" que le doorman laisse entrer en passant devant tout le monde, ils se sentent plus important, c'est comme si le Pape leurs accordaient une audience privée encore qu'ils en auraient long a confèsser... Le pire dans cette histoire là c'est que le Stereo est situé dans le coin "chaud", je dis chaud mais la plupart du temps il est bien gelé, du Centre-Sud. Si vous passez par là coin St-Christophe Ste-Catherine levez la tête et admirez, le haut ou le bas je sais plus, relief de béton, c'est toujours la même chose bein de l'argent pour le ciment mais rien pour mettre en dedans quoi que y'en a une gang dans ce bout là qui le mériterais. Bon! Un petit retour chez Philippe le mozzaburger est toujours là. Toute mes excuses... et pour revenir à nos moutons qui se trémoussent, le regretté Jacques Normand aimait les nuits de Montréal mais aimait il l'odeur de fond de tonnes des clubs mélangé avec le parfum de dessous de bras de mon'onk, va savoir? Là on tombe dans Réjean Ducharme le fantôme, on risque pas de le rencontrer dans des endroits comme ça, cherchez pas ça a ni queue ni tête ce que j'écris, au Stereo vous risquez de rencontrer beaucoup de queues et très peu de tête.En passant je me demande c'est qui le ti-coune qui a peint ces gros sacres au haut de l'édifice, un autre qui savait pas quoi faire et qui croyait éblouïr le centre-sud avec des banalités de charretier. C'est tout pour cette semaine si vous sortez protégez vous de toute les façons... À la semaine prochaine j'espère! Merci d'avoir lu!!!
Clubbie Bernie
Clubbie Bernie
1 commentaire:
Salut Berni/Inreb,
Les noms stéréorthograpiques ne son jamais franchement réflexif mais Raoul/Louar s’en était déjà rendu compte… En tout cas je suis heureux que tu te sois trompé au sujet du mozzaburger chez Philippe çà aurait été une grande perte pour la gastronomie du centre-sud voir pour la mondiale (l’univers, centre-sud même combat). Bon j’aurais sûrement encore mille choses à dire sur ta chronique mais je rajouterais seulement que, personnellement, tu m’avais dit avoir envoyé des extraits audio mais je n’ai rien reçu ???
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