vendredi 30 novembre 2007

Here is a picture letter for you and me # 8


Bonsoir! Bonjour! Là on passe devant chez Mado, l'icône de la gaytude. J'y ai jamais mis les pieds mais un ami m'a dis que c'est le royaume de la décadence kitch. Parlant de décadence parait qu'il y a 48% des québécois qui sont incapables de lire un texte, pratiquement analphabète. Ça va rigoler avec les bitcheries de Mado mais c'est incapable de lire Le Journal de Montréal et là je met la barre basse. Cuirette serait content ou contente de voir comment les gens sont ignorant ont peu bein avoir une parade de la fierté gay, les pectoraux pis la poche à l'air sans faire la différence entre Raymond Roussel et Yves Beauchemin. Bien sur y'a quelques émules de Cocteau et de Genet mais on les retrouve pas dans les rire gras de chez Mado. Je vous compte pas parmis les illettrés mais à quoi ça sert d'écrire dans un quasiment pays qui sait pas lire. Ça m'étonne toujours de voir de vieux gay avec des petits jeunes remplis de testostérone incapable de mettre un mot en avant de l'autre. Les ailes brisées voilà ou nous en somme, le centre sud c'est le pays d'Icare plusieurs ont voulus montez très haut, y sont presque arrivé mais ont atterris brusquement dans le cynisme désabusé. Ça apprend par coeur les chansons de Dalida mais ça sait même pas qui est St-Denys-Garneau. C'est quasiment du gay bashing que je fait là. Ètes vous de ceux qui croient que la culture c'est une affaire de fif? Je sais on dis pas ça fif c'est dénigrant et péjoratif mais comme disait mon regretté amis Jean-Claude, quand il y en a qui en mettent plus que le client en demande on peux les appeler fif. Je peux pas faire autrement que d'écrire sur les gay c'est omniprésent ici presque envahissant et quand je suis gentils avec eux, ils disent que je suis gay friendly. Ouais! À écrire ça je vais surement me faire tabasser par un culturiste gay qui sait pas quoi faire de ses bras. Centre sud le beau village aux amourettes de passages... Faut pas généraliser, la culture c'est comme la confiture moins on en a plus on l'étend, y'en a pas épais sur la toast. Je fait le saut vers le sida comme tout les beaux niaiseux qui croient que le sida est réservé au gay, le premier décembre c'est la journée du sida quoi dire là dessus? Une trithérapie c'est pas facile sans compter les préjugés qui rêgnent dans tout les milieux. Je dirais à tout et à toutes les célibataires qui me lisent, protègez vous, c'est bien, c'est mieux pour vous et pour l'autre. En finissant je veux juste vous dire que j'apprécie les commentaires et vous remercie d'avoir lu!

Oneway Bernie

mercredi 28 novembre 2007

Here is a picture letter for you and me # 7


Bonsoir! Bonjour! Aujourd'hui comme le temps froid est revenus on passe dans une ruelle de Montréal, une ruelle anonyme comme y'en a des centaines. J'essais de me souvenir qui les chantait mais je trouve pas. Je peux pas vraiment vous parler des ruelles de mon enfance j'ai pas connus ça. L'hiver mon père faisait une patinoire dans la cour et plus tard nous vivions entouré de marais et de champs. Je me souviens de la flaque d'eau dans le lotissement d'à côté qui aussitôt gelée nous servait de patinoire. Quand on jouais au hockey c'étais dans la rue y'avait tellement peu de circulation, parfois les policiers nous grondait mais c'étais pas grave. Tant qu'a être dans les souvenirs autant y aller, on s'amusait a faire des culbutes dans la neige en sautant du haut des piles de forme à solage. Pour revenir aux ruelles la nuit elles sont obscures on s'y cache on survis dans une shed débarré. Parfois on passe par la ruelle noire pour aller boire dans un bar condamné c'est le cas de le dire on couche sur la corde à linge et vraiment le linge est gelé. La nuit l'hiver les ruelles c'est épeurant y'a pas d'enfants que des ombres et des clous qui pètent des planches qui craquent. À Montréal y'en a qui tentent d'apprivoiser les ruelles, en faire des lieux conviviaux. Mais pour moi la ruelle c'est fait pour le petit monde qui passent par la porte d'en arrière ç'est toujours louche. La vrai visite ça passe par la porte d'en avant. Tout ce qu'on veux plus on le laisse dans la ruelle, itinérants, vieux meubles, minounes, pas les chats, le char. Mais les vieux matoux connaissent ça les ruelles même éborgnés, queues arrachés ils y rôdent en maître rêgnant sur les restants de souper jeté là. Les ruelles sont pas le poumon de Montréal mais on peux parfois y respirer une odeur de sauce à spaghetti. Ça donne faim surtout quand t'a pas les moyens et que tu te cherche une cachette pour passer la nuit. Beaucoup de mais dans ma cronique aujourd'hui un analyste transformerais ça en mets et dirais que j'ai faim. Je peux pas manger on va me faire des prises de sang. J'arrête là on se croirais dans les Lieux Communs de Bouchard et Arcand. Merci d'avoir lu!

mardi 27 novembre 2007

Here is a picture letter for you and me # 6


Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui on passe au Métro Papineau. Notre lecteur friand de design constateras qu'ils ont fait un effort, c'est beau mais faut voir ce qui se passe autour. Ce matin là c'étais tranquille, l'autobus est très bien placée elle nous cache le bar Taboo pour les hommes amateurs de quéquettes qui se font aller, on appelle ça des danseurs ils en ont que le nom. Autour de ce métro là vous pouvez vous faire offrir des cigarettes de contrebande, les deux hebdos du métro et plein d'autre choses que la morale m'empêche de nommer. Parfois on se fait quêter quelques sous ou offrir l'excellent journal l'Itinéraire. La rue que voux voyez c'est Dorion c'est un bon endroit pour s'asseoir et observer la faune du Centre-Sud. À l'heure de pointe le soir l'autobus est toujours en retard DeMaisonneuve est bloquée. C'est plate cette semaine cette chronique là on se croirais à Radio-Canada parler beaucoup pour ne rien dire. Derrière on vois un édifice une espèce de cage aux folles pour handicapés... Hon!!! C'est pas correct mais si j'étais gay j'habiterais là tout les services sont à proximités... On peux même acheter une bicyclette pour vingt piastres, je vous dis pas d'ou elle viens c'est pas sorcier. Ce qui est étonnant c'est de croiser souvent les mêmes personnes et pas foutus de dire bonjour. Quelques un parlent c'est pas parce qu'ils sont plogué sur leurs Bluetooth, ils parlent tout seul moi je les appelle mes poètes y'en a même un que j'avais surnommé Verlaine, précis comme une horloge suisse il marchait toujours vers je ne sais ou malheureusement je le vois plus. De l'autre côté de la rue y'a les taxis de nos amis philosophes Haïtien ça rigole en créole. Y'a aussi un personnage qui essais de vendre à gros prix Le Journal de Montréal de la veille, le pire c'est qu'il y en a pour l'acheter. Je vous parle pas de l'ainé handicapé qui prend l'autobus avec sa chaise, il semble y tenir, c'est certainement un ingénieur qui a conçu ces autobus là mais comme on dis, on dois respect à nos ainés, tout mes respects Monsieur. Ha oui!!! Y'a les lampadaires qui flashent le soir moi je le prend personnel ça fait des années que j'ai pas payé de compte d'électricité, inquiétez vous pas quand y'a une panne de métro je crois pas que c'est de ma faute. Dans la station de temps en temps y'a des troubadours, une madame qui chante des complaintes on passe et on a envie de pleurer, des chansonniers de tout acabit et le plus remarquable un type assis à l'indienne avec deux baguettes de drum et un bloc de bois. Il chante et fait la rythmique assez particulière. Je me demande encore ce qu'il a dans les oreilles... Tout ça a un air de déjà vu, y'en a surement un qui a déjà eu la même idée mais comme chanterais Frank "I did it my way" Merci d'avoir lu!

Subway Bernie

dimanche 25 novembre 2007

Here is a picture letter from me to you # 5




Bonjour a tous! Aujourd'hui on passe au parc des Faubourgs, moé j'aurais ajouté à mélasse... C'est l'ancien terrain ou était situé un bunker de motard. Je me rappelle plus qu'elle gang c'est pas important. C'est tout près des vendeurs hydroponiques j'ai tendance à faire un lien entre les deux... La belle église je crois que c'est Notre-Dame-de-la- Guadeloupe l'église des latinos de Montréal le dimanche quand on passe là vers dix heure on se croirais revenus à la belle époque du Cardinal Léger et de notre très sainte mère l'église catholique. Je crois qu'ils disent la messe en espagnol. Cette photo là c'est aussi la vue qu'on a du pont Jacques Cartier en rentrant à Montréal. C'est réussis. J'ai pas pu photographier les fumeux de crack qui se tiennent là. Quand on se promène tôt les matins de week-end parfois on peux voir des gens s'injecter, c'est très étonnants de voir ces deux mondes, les catho-latino et les toxicomanes cohabiter. Vous allez me dire il parle juste de dope c'est un élément omniprésent du centre-sud. Malgré les airs charmant du parc les gens y souffrent, pas loin de là on peux se faire tatouer. Le centre-sud c'est un peu le quartier des damnés de Montréal. Faut regarder au delà de l'ambiance bucolique du parc. Vous saviez qu'à Montréal y'a une heure de fermeture pour les parcs ceux qui dérivent peuvent même pas accoster sur un banc histoire de se reposer les pieds. Nos chers amis catho-latinos font surement la charité chrétienne mais essayez pas de bummer quelques trente sous à la sortie de la messe. C'est étrange pour moi latino ça rime avec cocaïne vous me direz c'est du racisme mais enfin... Les latinos vont repeupler le Québec pis je vous parle pas des latinos marxiste réfugiés ici qui font du Che une image christique. Marx et Jésus-Christ deux révolutionnaires qui ont pas eu la même fortune. Bon on fait un petit détour par l'église Notre-Dame grâce à un de nos lecteurs mécène avant la lettre j'ai assisté à un Requiem de Mozart bien que néophyte j'ai grandement apprécié. Les choeurs étaient superbes on remercie un autre de nos lecteurs de travailler sur des concerts aussi magnifique et ayant beaucoup de chance j'ai même pu entendre le trombone excellent de son fils. Enfin ce fut une soirée passionnante en de sain lieu pas très loin de la rue Ontario. Comme vous avez remarquez les envois sont irrégulier je dois satisfaire mes deux publics, les bloggers et les letters c'est pas simple mais j'y arriverai comme dirais le regretté Claude Blanchard "Y'en arrive tu des affaires!!!"

samedi 24 novembre 2007

Here is a picture letter from me to you #4


Bonjour! Bonsoir tout le monde! Cette semaine je vous emmène dans le parking du célébrisime Lafleur connus pour sa poutine après la brosse. La murale est pas pire mais je me demande si elle est pas là pour distraire le potteux qui marche la tête entre les jambes. En haut de l'édifice on peux voir horticulture et hydroponie, laissez moi vous dire que rue Ontario la violette africaine est rare ça sent plus le tabac qui fait rire. À cet endroit on peux s'équiper pour remplir un sous-sol qui sert à rien et se faire un revenus d'appoint. Dans s'te parking là y'en a surement une gang qui après avoir vomis ont relevé la tête avec l'idée de génie, produire du stock pour rendre psychotique le plus charmant voisin. Icitte on en a des pothead c'est pas fort fort ça se rend malade paranoïaque a en mourrir. Ils ont pas compris que dans le monde d'aujourd'hui y'a rien de plus révolutionnaire qu'être straight. Ça fume du pot dans l'ignorance... Je pense au Club Compassion qui fournis le stock a ceux qui sont malades. Ils se sont peut être équipé là. Étrangement le Club Compassion c'est sur le plateau pas sur la rue Ontario, ici on a des représentants du Bloc Pot plongé dans l'insignifiance abjecte. Bon!!! Ça s'en viens sérieux on est loin du rotteux pis de la graisseuse quoi que fumer ça donne la faim mais moé j'aimerais pas ça fumer pis avoir juste des biscuits soda a manger ça rend la langue épaisse. Rien pour chanter du reggae... Pour ceux qui se demandent ou c'est? Coin Delorimier-Ontario le matin y'a du chars là mais pas assez de temps pour faire du squeegee. À soère y fait frette rue Ontario on a envie de se faire chauffer sous les belles lampes a sodium. La bâtisse est à vendre, ils vont surement en faire des condos pour fumeux d'herbe branché ça va sentir l'encens pis le patchouli là!!! Vous avez remarquez comme la rue est vide, c'est un dimanche matin, ici le dimanche matin c'est le désert y'a juste des gars qui cherchent a se faire faire une pipe pas chère... excusez mesdames. Vous savez c'est pas toujours rigolo le centre sud mais on fait avec... C'est tout pour aujourd'hui déprimez pas trop, je vous reviens bientôt.

Bern downtown

jeudi 22 novembre 2007

Here is a picture letter for you and me #3


Les femmes des membres du parti
arrivent en mustang
un ouvrier dans le coffre
étranglé avec sa médaille

Denis Vanier

Bein oui! Regardez l'image avant de lire. Cette semaine je vous emmène dans une ruelle du quartier gay la ruelle Sainte-Rose. Inquiétez vous pas on feras pas de cochonneries... C'est juste pour vous parler du dernier poète maudit qui hante maintenant la rue Ontario. Non Vanier étais pas gentil et c'est quelqu'un qui a tout essayé on peut dire qu'il en est mort. C'était un chien sale à la poésie assassine sinon une poésie d'assassin. Je vous conseille son oeuvres poétiques chez V.L.B. c'est loin de la poésie sirop de calmant qu'on lis trop souvent ces jours ci, c'est juste des mots mais des mots qui poignardent la bonne conscience qui tuent le confort. Vanier a produit une oeuvre forte entouré d'ennemis lui qui disait dans le film des frères Gagné intitulé Ton père est un bum, "Il n'y a plus de cause" on pense a Rebel witout a cause. Rue Ontario c'est pas le Hollywood chromé de James Dean c'est la misère des petites tavernes, les shylocks, les putes quand on y passe on regarde sans voir parfois même on se prend a espérer croiser Vanier au détour d'une ruelle. Un Vanier bein saoul bein gelé qui nous crisserait une bonne volée pour prendre les quatre trente sous qu'on a dans les poches. On peux dire de Vanier qu'il était un poète de la "belle époque" de la contre-culture. Aujourd'hui on en a que pour la culture de masse, personne ne s'oppose plus à rien, on accepte le monde comme il est. Y'en a encore quelques un qui bouffent du curé mais ça frôle l'insignifiance on frappe pas quelqu'un qui est à terre. Combien d'aspirant à la prêtrise plein de ressentiment qui n'ont pu y accéder vu leurs orientations sexuelles. Vous voyez ça se recoupe on reviens dans le village. Non, Vanier n'était pas un prêtre bien que je l'aurais vus officier à une messe noire. Vanier est mort d'un cancer de la gorge, mort horrible pour un homme de mots. Je crois même qu'il avait hâte d'en finir de sa vie de "patachon". Vanier c'est mon quartier, comme les femmes qui s'engueulent pour des questions d'argent, comme les petits gars qui volent quand ils sont restés dehors trop longtemps, comme les gay vulgaire qui se frenchent à pleine bouches, comme la misère qui nous hante tous... Un petit peu trop poétique mon affaire cette semaine. Je regrette pour ceux qui pensaient à une newsletter franchouillarde mais comme je suis planté ici aussi bien faire avec...

mardi 20 novembre 2007


Bonjour! Bonsoir! Là je vous emmène coin Ontario-Dufresne à cinq minutes de chez moi pas loin du café grano remplis de littérature anarchiste, je vous le nommerai pas les clients c'est juste des esties d'artistes ça doit être eux autre qui ont fait s't'affiche de malade!!! Elle est disparue heureusement, elle nous écoeurait coût du panier de provision dans le quartier, le plus élevé, taux de chömage supérieur à l'ensemble de la ville, 14% des résidents béesses, 29,000 dollars de revenus en moyenne, disont que je tire la moyenne vers le bas, 53% de familles monoparentales criss ce monde là ça fait des bébés... Les pauvres c'est fait pour mourrir... au service de la patrie ou mettre de la pression sur Ti-Zoune le journalier qui veux pas perdre sa petite job. Les pauvres ça sert a torcher les autres moé j'attend qu'ils ouvrent des camps pis qu'ils leurs arrachent les dents parce que ça mord ce monde là ça demande même plus de logement sociaux. Ça mord la main qui les pourris gang d'ingrat... Ils ont juste a s'engager les déserts d'Afghanistan c'est beaux. On est toujours content de notre ami Éric (pas toé un autre!) qui s'est réorienté. Avez vous déjà vu ça une affaire lette de même ça doit être un de ces maudits artistes qui veux pas travailler qu'il fasse donc comme Evan Johanness, ça s't'un vrai artiste!!! Pis qu'il chante dans les bingos plutôt que de nous écoeurer avec sa maudite affiche. Mais nu's'autre icitte on a pas de salle de bingo. Je veux dire merci à notre maire d'arrondissement, pourtant Montréal ça jamais été rond c'est carré comme la bristish law, Monsieur Labonté, un nom prédestiné pour faire la charité... Venez combattre le chaos qu'ils disent, icitte y'en a en masse du chaos les étudiants qui manifestent les chauffeurs d'autobus avec un mandat de grève, on pense ici à un de nos lecteur, O.K. O.K on s'excuse auprès de notre lecteur... 35 ans de service et une retraite mérité c'est a souligner félicitations!!! Mais ça nous rajeunis pas personne!!! cou donc c'est rendus pire qu'en France vous votez pour Harper pis Charest et c'est comme si le magnat de La Presse Desmarais vous refusait cinquante cents.... et l'hiver qui s'en viens... À propos de l'art, des fois qu'il y en aurait qui se posent des questions, ce que vous voyez là, l'écriture la photo dans un même courriel c'est déjà de l'artisanat. Je pense que les vrais artistes de l'avant-garde télétransportent des tas de merde... Pour revenir à notre cher café les petites filles qui le fréquente rêvent de partir pour le Mexique avec leurs bébé... Finalement moé chu fasciste je trouve que le monde respire trop fort ça déplace les poils de nez ma photo seras jamais exposé à la Maison de la couture oups!!! de la culture et ceux qui pensent à Ghöering qu'ils aillent se confesser... Surtout oubliez Céline, pas elle!!! Mais monsieur Destouches qui nous préparait à l'invasion des chinois, ici on pense à un autre lecteur qui collabore avec l'envahisseur, ici le chinois du dépanneur sacre et m'envois chier a toute les fois que j'y met les pieds, ça c'est de la kultur. Je me demande pourquoi on fait pas une belle révolution culturelle comme en Chine... Si vous trouvez que je radote faites vous en pas c'est cent fois pire dans ma tête et je suis tout seul a vivre dedans et tiens faites moi un petit accomodement raisonnable... Pour tout commentaire, critique, don, prière d'envoyer à l'auteur, Merci!

Chop suey Bernie.

mardi 13 novembre 2007

Here is a picture letter for you and me #1


Je débute avec une photo de devant chez moi, finalement c'est pas trop lette la lumière est meilleure en automne. On voé quasiment pas la base qu'un de nos lecteur a surement déjà fréquenté. Ça ressemble un peu à la banlieue un paquet de poteau. Marcelle vois ça d'un peu plus haut ça lui évite de sauter par dessus la passerelle. Tu te rappelle de Marcelle Daniel? Je vous montre le devant avec les belles tours Frontenac peuplées de toute sorte de mésadapté qui veulent pas mettre le nez dehors. Je sais c'est pas drole... J'ai des amis qui habitent là. Cette journée là pour la photo y'avait pas de chars et l'abribus étais vide, enfin vous le voyez... Ça me prend du temps pour me réchauffer parler du Centre-Sud c'est comme parler d'une maitresse qui vous trompe. Je compte pas les mots le jour c'est beau la nuit c'est louche, ça sert à rien de vous dire que c'est un ancien terrain de softball recyclé en terrain de soccer. Times they are a changing dirais Bob Dylan. Finalement je vais essayer de vous pondre un petit courriel distrayant et non une photo vaux pas mille mots. Pour les commentaires et les problèmes techniques veuillez me les faire parvenir. C'est pas fort a soère...


Bernard